Poème de Jean Richepin, tiré de la Chanson des Gueux, 1876
Musique de Georges Brassens, 1956
Philistins, épiciers
Tandis que vous caressiez
Vos femmes
En songeant, aux petits
Que vos grossiers appétits
Engendrent
Vous pensiez, “Ils seront
Menton rasé, ventre rond
Notaires”
Mais pour bien vous punir
Un jour vous voyez venir
Sur terre
Des enfants non voulus
Qui deviennent chevelus
Poètes
Vous pensiez, “Ils seront
Menton rasé, ventre rond
Notaires”
Mais pour bien vous punir
Un jour vous voyez venir
Sur terre
Des enfants non voulus
Qui deviennent chevelus
Poètes