Once having a dead at home was a bit of a scoop
The next-of-kin included everyone in the loop
We have a stiff at home, if you’re in the neighbourhood
Why don’t you drop in before we dress him up in wood
But nowadays the living are not so gregarious
Their selfish view of death is downright nefarious
And that is why as time inexorably goes
Many a funeral slips right under your nose
Many a funeral slips right under your nose.
Chorus:
Wherefore are the funerals of yore
The little hearse, little hearse, little hearse, little hearses
Drawn by little horses
Clippity-clop down the road they rode
The little corpse, little corpse, little corpse, little corpse
Had time to smell the roses
When the heirs and heiresses struck gold
They bought a round at the bar for the priest, for the flock
For all even the horses
They’re gone by the wayside
And that is very sad
Whenever did the F.U.N. go in funerals
They have become history
And that’s a sad story
The pretty obsequies are pretty obsolete.
Today speedy hearses with a custom V8
Rush off the departed to their ultimate date
The poor sods have no chance as they leave their chapels
To watch dejected heirs step into road apples
The other day some assholes going one-and-twenty
Where whisking one of them to the land of plenty
When they ignored a sign that said danger ahead
The deceased it appeared took them with him instead
The deceased it appeared took them with him instead.
(Chorus)
Rather than be subjected to shoddy funeral
I would preferably do without a burial
I’d sooner go up in flames or go down in water
And even if I must not die altogether
May again lest he be thought as a ragamuffin
Rise the proud cadaver in his fancy coffin
For a good show a fool and his money soon parted
Off went the departed higher than they farted
Off went the departed higher than they farted.
(Chorus)
© Didier Delahaye, 2003
Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain
De bonne grâce ils en f´saient profiter les copains
” Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit
Venez l´pleurer avec nous sur le coup de midi… “
Mais les vivants aujourd´hui n´sont plus si généreux
Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux
C´est la raison pour laquell´, depuis quelques années
Des tas d´enterrements vous passent sous le nez
Des tas d´enterrements vous passent sous le nez.
Refrain:
Mais où sont les funéraill´s d´antan ?
Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards
De nos grands-pères
Qui suivaient la route en cahotant
Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées
Ronds et prospères
Quand les héritiers étaient contents
Au fossoyeur, au croqu´-mort, au curé, aux chevaux même
Ils payaient un verre
Elles sont révolues
Elles ont fait leur temps
Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres
On ne les r´verra plus
Et c´est bien attristant
Les belles pompes funèbres de nos vingt ans.
Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert
Emportent les trépassés jusqu´au diable vauvert
Les malheureux n´ont mêm´ plus le plaisir enfantin
D´voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin
L´autre semain´ des salauds, à cent quarante à l´heur´
Vers un cimetièr´ minable emportaient un des leurs
Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis
On s´aperçut qu´le mort avait fait des petits
On s´aperçut qu´le mort avait fait des petits.
(Refrain)
Plutôt qu´d´avoir des obsèqu´s manquant de fioritur´s
J´aim´rais mieux, tout compte fait, m´passer de sépultur´
J´aim´rais mieux mourir dans l´eau, dans le feu, n´importe où
Et même, à la grand´ rigueur, ne pas mourir du tout
O, que renaisse le temps des morts bouffis d´orgueil
L´époque des m´as-tu-vu-dans-mon-joli-cercueil
Où, quitte à tout dépenser jusqu´au dernier écu
Les gens avaient à cœur d´mourir plus haut qu´leur cul
Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul
(Refrain)
Georges Brassens, 1960
V (1958-1960)
Le vieux Léon Ol’ Leon
À l’ombre du cœur de ma mie In The Shade Of A Maiden’s Love
Le pornographe The Pornophone
Le Père Noël et la petite fille Santa’s Girl
La femme d’Hector Victor’s Wife
Bonhomme Natural Mate
Les funérailles d’antan Funerals Of Yore
Comme une sœur Lotus Flower